26 / 04/2023

 

Conférence

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

INVITATION


André Gattolin, sénateur des Hauts-de-Seine et Marie-Françoise Lamperti, présidente de
l’association Agir pour les droits de l’homme (ADH) ont le plaisir de vous inviter à la
conférence :

Droits de l’homme et entreprises

Vendredi 2 juin 2023 de 14h00 à 18h00

Salle Médicis du Palais du Luxembourg

ou diffusion en visioconférence

15 rue de Vaugirard 75006 Paris

Cet événement est réalisé en partenariat avec les associations France Tibet, La Maison de la
Citoyenneté Mondiale de Mulhouse, lACAT et l’Assemblée des Citoyens du Monde.

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Programme

14h00 Accueil des participants

14h 30 Introduction par André GATTOLIN, sénateur des Hauts-de-Seine -

15h intervention de Malick DIAWARA, journaliste, responsable éditorial Le Point Afrique

sur le thème « Droits de l’homme : Un enjeu sur le chemin des droits de l’homme en Afrique »

15h30 intervention de Clothilde HUMBERT, avocate au Barreau de Paris

sur le thème « Défis pratiques et opportunités pour les entreprises dans la mise en œuvre de la
conformité relative aux droits humains »

16h00 intervention de Luc BELLIÈRE, ingénieur, vice-président protestant de l’ACAT-France

sur le thème « Responsabilité élargie des entreprises en matière de droits humains »

16h30 intervention de Guillaume ZAMBRANO, maître de conférences en droit privé à l'Université de Nîmes

sur le thème « Les entreprises comme nouvelle source de droits fondamentaux : quelles implications
démocratiques ? »

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Inscription obligatoire par courrier électronique tant pour la participation en présentiel quen
visio
; le nombre de places étant limité.
Bureau d’André Gattolin : a.gattolin@senat.fr

Association ADH : agirdtshomme@yahoo.fr

Pour le présentiel, se munir d’une pièce d’identité pour entrer dans l’Institution

Pour la visio, le lien de connexion vous parviendra par retour de mail.

Coordinatrice de la conférence / Modérateur

Marie-Françoise Lamperti 06 45 10 40 11

Présidente de l’association Agir pour les droits de l’homme

 



11/11/2018

 

 

 

Anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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3/10/2018

 

 

 

 

« Personnes portées disparues, le cas de Sombath Somphone »

 

 

                     

Sombath Somphone

 

 

                                                                    Colloque

 

 Co-organisé par

André Gattolin, sénateur des Hauts-de-Seine

Et  

                          Le Mouvement Lao pour les Droits de l’Homme

 

 

 Lundi  8 octobre  2018 (10h00 - 12h30)

 

Au Palais du Luxembourg (salle Médicis)

                  15 rue de Vaugirard – 75006 Paris

 

En présence de

 

● François Croquette – Ambassadeur pour les droits de l’Homme

 

● Emmanuel Decaux – membre et ancien président du Comité des disparitions forcées

 

● Shui-Meng Ng – épouse de Sombath Somphone

 

● Cyril Payen – Journaliste à France 24, auteur de « Laos, la guerre oubliée »

 

● Laura Harth – coordinatrice du comité scientifique, Global Committee for the Rule of Law

 

 

● Marie-Françoise Lamperti – Présidente de l’association Agir pour les droits de l’Homme

 

 

 

 

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INVITATION
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2016

 

 

 

 

S'engager, mais comment ? 

 

 

 

 

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Conjointement avec M. André Gattolin, sénateur des Hauts-de-Seine, les associations Agir pour les droits de l'homme (ADH), Action des Chrétiens pour l'abolition de la torture (ACAT), et Ensemble contre la peine de mort (ECPM) ont organisé au Sénat de la République française, le 11 avril 2016, une conférence sur thème de l'engagement.

Le public était composé de jeunes gens de trois établissements de la région parisienne dont l'établissement Sénart-Enseignement de Draveil (Essonne) , le Lycée Saint-Hilaire de Paris 13e et l'Institut international de l'image et du son (3IS) accompagnés de leurs responsables pédagogiques.

A la tribune, outre l'intervention, en ouverture du colloque du sénateur André Gattolin, ont fait part des motivations de leur engagement et de leur expérience : Danielle Mérian, militante des droits humains, Guy Aurenche, président de l'ONG CCFD-Terre solidaire, Ariane Grésillon, directrice de l'ONG Ensemble Contre la Peine de Mort, Jean-François Zmirou, vice président du tribunal de grande instance de Paris, Benjamin Ismaël, journaliste à Reporters sans Frontières.

L'expérience de chaque intervenant et les débats qui ont suivi ont permis aux jeunes réunis dans la salle de mener une réflexion à partir de la notion d'engagement.

Pour marquer toute l'importance portée à cet événement dédié à la jeunesse, deux jeunes gens du Lycée Saint-Hilaire ont pris la parole à la tribune pour exprimer, le bien fondé et le désir d'engagement pour leur vie.

En amont de la conférence, les organisateurs se sont rendus dans les établissements pour présenter le projet et débattre avec les jeunes à partir du thème.

Dans ce cadre, les étudiants de la filière journalisme de l'Institut international de l'image et du son ont effectué des interviews auprès des personnalités présentes et entrepris la réalisation d'une vidéo.

Une visite du Sénat a été proposée aux jeunes gens.

 

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Programme de la conférence
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Quelques étudiants de l'Institut de l'image et du son (3 IS) visitant le Sénat.
Quelques étudiants de l'Institut de l'image et du son (3 IS) visitant le Sénat.
A la tribune (de gauche à droite), Mme Danielle Mérien, Mr. Guy Aurenche, Mme Ariane Grésillon, Mr. Jean-François Zmirou.
A la tribune (de gauche à droite), Mme Danielle Mérien, Mr. Guy Aurenche, Mme Ariane Grésillon, Mr. Jean-François Zmirou.
Alexandre Martinez, du lycée St-Hilaire, Marie-Françoise Lamperti, Thomas Pierson, du lycée St-Hilaire, Mr. Le Sénateur André Gattolin.
Alexandre Martinez, du lycée St-Hilaire, Marie-Françoise Lamperti, Thomas Pierson, du lycée St-Hilaire, Mr. Le Sénateur André Gattolin.
Mr. Benjamin Ismaël, journaliste Reporters sans frontières.
Mr. Benjamin Ismaël, journaliste Reporters sans frontières.
Mr. Guy Aurenche, Président de CCFD-Terre solidaire.
Mr. Guy Aurenche, Président de CCFD-Terre solidaire.

Philippe Dessertine et Marie-Françoise Lamperti à la tribune lors de la conférence
Philippe Dessertine et Marie-Françoise Lamperti à la tribune lors de la conférence

2015 

 

Conférence au Sénat de la République Française.

Organisée par le sénateur André Gattolin et l'association Agir pour les droits de l'Homme.

 

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                     Quelles réformes pour les Nations Unies ?

 

 

En écho au 70e anniversaire de la création de l’ONU, une conférence sur le thème : « Quelles réformes pour les Nations unies ? » s’est tenue au Sénat de la République française (Paris 75006) le 14 avril dernier.

Cette conférence a été organisée conjointement par Marie-Françoise Lamperti, présidente de l’association Agir pour les droits de l’Homme (ADH) et André Gattolin, sénateur des Hauts-de-Seine, en partenariat avec les associations : France-Tibet, l’association française pour les Nations Unies (AFNU), Citoyens du monde -France (CDM) et Ensemble Contre la Peine de mort (ECPM).

Cet après-midi-là, de 14 h à 18 h, trois grands thèmes ont donné lieu à des interventions portant sur les éventuelles réformes nécessaires à l’institution onusienne. Ainsi, lors de la première phase d’interventions : « Les revendications citoyennes dans la société internationale », se sont exprimés : Joël Labbé, sénateur du Morbihan avec le thème : « Citoyen du Monde, utopie ou réalité ? », Bernard Chuzeville, délégué élu au Congrès des Peuples qui a présenté : « Le Congrès des Peuples », Nicolas Perron, directeur des programmes à ECPM : « du moratoire à l’abolition de la peine de mort », et Troy Davis, président de l’association Ecole Démocratie : « Pour un contrat social mondial ».

La deuxième phase de la conférence intitulée : « Société internationale : état des lieux et réformes » a ouvert un champ de pistes de réflexions, et, dans ce cadre, proposé par Philippe Dessertine, économiste et directeur de l’institut de haute finance : « la régulation financière », Sandra Szurek, professeur émérite de droit public international : « Maintien de la paix : quelles réformes ? » et Guy Aurenche, président de CCFD-Terre solidaire : « la société civile, un intrus problématique à l’ONU ».

Le troisième thème de cette conférence a abordé la « Question des droits de l’Homme : lumière et quelques exemples concrets ». A ce propos, Michel Lu représentant de Taïwan en France a développé : « Les valeurs universelles, la démocratie et les droits de l’Homme, les expériences de la communauté chinoise », suivi de Marcelle Roux, présidente de l’association France Tibet en binôme avec Patrick Augustin, vice-président de France Tibet qui ont exposé la problématique de : « La colonisation de l’eau. L’exemple du Tibet » et Richard Flahaut, historien d’art, conservateur du patrimoine qui a soulevé le problème de la : « Tragédie d’une nouvelle guerre, le génocide du patrimoine ».

Pour Chaque phase, les interventions ont été animées par un débat avec le public. La modération a été assurée par Marie-Françoise Lamperti. En fin d’après-midi les conclusions ont été apportées par le sénateur André Gattolin.

 

Mr. le Sénateur des Hauts-de-Seine, André Gattolin.
Mr. le Sénateur des Hauts-de-Seine, André Gattolin.

"Clic" = Revue de presse.
"Clic" = Revue de presse.

2015 

 

 

Communiqué de presse

Soutien pour la libération de Serge Atlaoui


"Clic" = Une visite de plus de deux heures...
"Clic" = Une visite de plus de deux heures...

2014

 

 

Conférence / exposition du 14 janvier 2014  au Sénat de la République française 

 

"Albert Camus, pionnier de la démocratie mondiale"

 

 "Au nom des peuples du monde ! "

 

Après la Seconde guerre mondiale au moment de la rédaction de la Charte des Nations unies, un groupe d’anciens résistants comme Robert Sarrazac dénonce certains articles de la Charte comme une déviation des principes énoncés dans le préambule.

Un front des Citoyens du Monde se constitue. C’est là que Garry Davis se plaçant sous l’autorité de l’ONU se déclare « Citoyen du monde » (au Trocadéro à Paris). Un comité de soutien se créé. Albert Camus rédige la Déclaration d’Oran qui devait être lue par Garry Davis, aussitôt ceinturé par les forces de police. Texte dont l’interpellation, en accroche de la Déclaration « au nom des peuples du monde ! je vous interromps », a marqué les mémoires.

C’est ce texte qui a donné une identité politique aux Citoyens du Monde et fédéré, d’emblée, une vingtaine d’intellectuels. Se sont joints à eux, des personnalités telles que : l’Abbé Pierre, Théodore Monod, André Gide, Jean-Paul Sartre, André Breton. Lorsque la presse s’en fait l’écho, le groupe recueille l’adhésion d’autres personnalités de renom : Albert Einstein était de ceux-là.

Porté par la Déclaration d’Oran et la voix de Garry Davis, le front des Citoyens du Monde réclame l’instauration d’un nouvel ordre mondial qui doit être, selon les termes d’Albert Camus, « universel », et disposer « d’un parlement, donc de constituer ce parlement au moyen d’élections mondiales auxquelles participeront tous les peuples », précise Albert Camus.

C’est pour mettre en lumière cette période peu connue de l’engagement d’Albert Camus pour la démocratie mondiale, que l’Assemblée des Citoyens du Monde organise sous le parrainage de Joël Labbé, sénateur du Morbihan, au Palais du Luxembourg à Paris la conférence - exposition « Hommage à Albert Camus, pionnier de la démocratie mondiale ».

 

Lien :

http://citoyensdumonde.fr/Exposition-conference-Albert-Camus.html

 

Interviews :

rubrique médias sur le site

 


2013

 

Elysée : représentants des ONG

 

 

Questions à l'occasion du déplacement du Président de la République française  en Chine


Dans la perspective du déplacement du président de la République François Hollande en Chine fin avril 2013, le conseiller pour l'Asie de François Hollande  a reçu à l'Élysée les représentants des associations des droits de l'Homme. Parmi elles : ACAT, Agir pour les Droits de l'Homme (ADH), Human Rights Watch, Amnesty International, CCFD, Ensemble Contre la Peine de Mort (ECPM), Fidh, La Ligue des Droits de l'Homme, Reporters sans Frontières, Solidarité Chine.


Questions de Marie-Françoise Lamperti, au nom de l'association "Agir pour les Droits de l'Homme"


Les perspectives françaises au sein de l'ONU face à la Chine: Quelles sont les perspectives de la France pour développer sa zone d'influence au sein de l'institution onusienne quand on sait que la Chine détient un droit de veto au Conseil de Sécurité ? Quelle est la marge d'action pour faire reconnaître les droits humains face à l'État chinois? La langue de la diplomatie, celle des États a comme outil, notamment, le droit international. Si ce droit "inter-national" agit comme protection, il agit aussi comme contrainte puisque le droit international "dit" le droit de chaque nation comme une sorte de juxtaposition des droits des différents États mais ne dit pas le droit des peuples du monde. Comment faire au niveau institutionnel pour qu'un État comme la France n'ait pas dans le cadre des échanges, à renier ses idéaux, ou à les passer sous silence pour avancer dans cette reconnaissance des droits humains ?


Collectif Dafoh contre le prélévement forcés d'organes
Collectif Dafoh contre le prélévement forcés d'organes

2013 

 

Conférence de presse à

l'Assemblée nationale

 

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A l’occasion de la sortie en France du livre Organes de l’État, Abus de transplantation d’organes en Chine, une conférence de presse a été organisée à l’Assemblée Nationale (Paris, France) ce mercredi 17 juillet 2013. Organisée par l’Association Dafoh (Doctors against forced organ harvesting) et en présence du co-auteur du livre David Matas, la conférence a reçu le soutien de Lionnel Luca, député UMP. Le livre Organes de l’État expose le point de vue de plusieurs professionnels de

 

la santé et spécialistes de la Chine sur la question des prélèvements d’organes forcés, une pratique lucrative et institutionnalisée dans les rangs de l’État chinois. Étaient présents David Matas avocat international des droits de l’homme et nominé au prix Nobel de la paix, Harold King responsable de Dafoh en France, Geneviève Salsat, attachée parlementaire de Lionnel Lucca, Valérie Boyer, députée UMP et auteure en 2010 d’une proposition de loi règlementant le tourisme de transplantation d’organes, Michel Wu, ancien rédacteur en Chef de RFI pour la section Asie, Alain Tong, président de l’association Falun Dafa France, Sylvie Le Lan d’Ensemble contre la Peine de Mort et Marie Françoise Lamperti d’Agir pour les Droits de l’homme.

 

 

Lien concernant  la pétition pour le Haut-Commissaire des Nations Unies demandant l'arrêt immédiat  des prélèvements forcés d'organes sur les pratiquants du Falun Gong en Chine :

 

https://www.dafoh.org/petition-pour-le-haut-commissaire-aux-droits-humains-des-nations-unies/

 

 


Communiqué de presse en cliquant sur la photo.
Communiqué de presse en cliquant sur la photo.

2012 

 

Mobilisation du Comité International pour la libération de Liu Xiaobo

 

CENT TRENTE-QUATRE LAURÉATS DU PRIX NOBEL EXHORTENT LE PROCHAIN CHEF D'ÉTAT CHINOIS XI JINPING À LIBÉRER LE PRIX NOBEL DE LA PAIX 2010 LIU XIAOBO ET SON ÉPOUSE LIU XIA.

 

 

Pétition des citoyens adressée aux dirigeants Chinois sur Change.Org par l’Archevêque Desmond Tutu.

 

Washington, DC – New York – Paris – Bruxelles – Genève, 4 décembre 2012

Cent trente-quatre lauréats du Prix Nobel, représentant l'ensemble de six disciplines du Prix ont écrit aujourd’hui au prochain chef d'État chinois Xi Jinping pour demander la remise en liberté immédiate et sans conditions de Liu Xiaobo et de son épouse Liu Xia. Celle-ci a été assignée à résidence peu après l'annonce faite par le Comité Nobel norvégien de l'attribution à son époux du Prix Nobel de la Paix 2010. La lettre est publiée par le Comité international pour Liu Xiaobo, composé de six lauréats du Prix Nobel de la Paix et de quinze organisations non gouvernementales.

 

Les lauréats du Prix Nobel affirment :

 

"Dans chacune de nos disciplines, la particularité qui nous a valu de devenir lauréats du prix Nobel, c'est que nous avons employé la force de notre liberté intellectuelle et notre inspiration créative pour contribuer au progrès de la condition humaine. Aucun gouvernement ne peut restreindre la liberté de pensée et d'association sans qu'il en résulte un effet négatif sur des innovations humaines d'importance."

L'archevêque Desmond M. Tutu (Prix Nobel de la Paix 1984) et Sir Richard Roberts (Prix Nobel de Physiologie ou Médecine 1993) se trouvent à l'origine de cette initiative avec le soutien de l'organisation Freedom Now, en sa qualité de conseil international pour Liu Xiaobo et son épouse. La lettre adresse au gouvernement chinois un puissant message : la remise en liberté de Liu Xiaobo et de Liu Xia enverrait un signal positif quant aux priorités de la nouvelle direction chinoise alors que leur maintien en détention entraverait le développement de la Chine et ternirait son image internationale.


"J'espère que les autorités chinoises apprécieront la diversité des réalisations extraordinaires accomplies par les lauréats du Prix Nobel qui leur ont écrit aujourd'hui" déclare l'Archevêque Desmond Tutu. Il poursuit : "Notre objectif n'est pas de placer la Chine dans l'embarras mais plutôt d'adjurer son gouvernement d'adopter une approche différente qui aiderait la Chine à se développer de meilleure manière et pour le bénéfice de tout son peuple". Sir Richard Roberts ajoute : "En libérant Liu Xiaobo et Liu Xia, la Chine pourra montrer sa force et prouver qu'elle ne craint pas ceux qui recherchent dans le dialogue les moyens les plus efficaces de réformer son gouvernement.".


2011

 

Académie diplomatique internationale - Paris le 24 octobre 2011

Journée des Nations Unies

La Journée des Nations Unies a été célébrée à l'Académie diplomatique internationale à Paris. Outre, la participation de Jean-Pierre Bugada , Responsable de la communication pour la France et Monaco du Centre régional d'information des Nations Unies pour l'Europe occidentale (UNRIC), l'événement a donné lieu à une véritable démarche des diverses agences de l'ONU.

 

Sur le thème : «Bâtir un appui global aux Nations unies grâce à l'information» , la rencontre a réuni sur la plateau, Luk Van Langenhove, directeur de l'Université des Nations unies en France (UNU), Jacques Rao directeur de l'UNESCO pour les Etats membres, Cécile Molinier, directrice du PNUD à Genève et Solange Montillaud-Joyel, responsable de la communication du PNUE en France.

 

Par leurs interventions les participants ont évoqué, notamment, la volonté des agences onusiennes de mieux faire connaître leurs travaux, leurs valeurs dans un monde de plus en plus globalisé où les politiques s'internationalisent et où l'information doit être transmise en temps quasi réel.

 

Les représentants des agences de l'ONU ont dit l'importance des travaux qu'ils effectuent et qui sont souvent peu connus alors qu'ils oeuvrent pour le monde, comme le rappelle le représentant de l'UNU en ce qui concerne les chercheurs de cette université.

Cécile Moulinié a précisé les efforts du PNUD pour communiquer les résultats obtenus sur le terrain dans le cadre des objectifs fixés par le Millénaire.

Invités à prendre la parole, les participants, dans la salle, ont évoqué également leurs difficultés à mieux informer la société civile du travail des agences onusiennes et à faire en sorte que les populations s'impliquent davantage. Une question, porte, par exemple, sur l'implication des collectivités locales.

 

La prise de parole de Marie-Françoise soulève la question de la contribution et de la participation des ONG au sein de l'institution onusienne. Marie-Françoise salue l'allusion de Cécile Moulinié concernant la situation des observateurs de l'ONU et des ONG qui ont un rôle de conseil mais, si l'information passe souvent mal, dit-elle, c'est qu'un grand nombre d'ONG dont celles rassemblées au sein des Citoyens du Monde, attendent autre chose.

 

Notamment, poursuit Marie-Françoise Lamperti, un grand nombre d'ONG travaillent pour que la présence populaire au sein des Nations unies soit plus importante. Ces ONG demandent que soit portée à l'ordre du jour de l'assemblée des Nations unies la question de la réforme de l'ONU et que ce chantier soit maintenu.

Marie-Françoise Lamperti fait observer que, dans la situation actuelle, si une ONG entreprend de verser une requête à l'ordre du jour de l'Assemblée générale des Nations unies, elle doit passer par la médiation d'un Etat. Or, à supposer même que cette requête soit retenue par le Gouvernement dudit Etat, celui-ci peut voir sa requête rejetée par le Conseil de sécurité.

 

Cécile Moulinié saisit le micro pour répondre à ce questionnement. Il est certain, dit-elle que la société civile sera de plus en plus sollicitée pour contribuer aux travaux des agences onusiennes, pour s'impliquer davantage. Le statut d'observateur existe mais Cécile Moulinié reconnaît qu'il reste encore de nombreux partenariats à élaborer et à développer plus encore de coopérations car c'est retrouver les principes fondateurs de la Charte: « Peuples des Nations unies ».


2011 

 

 

Académie  diplomatique internationale

Colloque sur :

 

La liberté d'information

 

 

Organisé par :

 

M. André Lewin, ambassadeur de France 

 

Intervenants :

 

- Shashi Tharoor, secrétaire général adjoint de l’ONU chargé de l’information et de la communication

M. Tharoor s’est exprimé  sur la liberté d’information et l’ONU 

 

- François Loncle, député auteur d’un rapport parlementaire récent sur le statut des journalistes et correspondants de guerre en cas de conflit

 

- Robert Ménard, fondateur et secrétaire général de Reporters Sans Frontières (RSF)

 L’intervention de M. Ménard a porté  sur les combats de RSF pour la liberté de la presse

 

- Le représentant de la fédération des journalistes

 l'intervention a porté   sur le syndicalisme de presse et la défense des journalistes

 

- Marie-Françoise Lamperti, présidente de l’association « Agir pour le droits de l’homme »

MF Lamperti a présenté son intervention sur la liberté d'informer 

 

Intervention de Marie-Françoise Lamperti

 

 

On m'a demandé d'intervenir devant vous aujourd'hui et je remercie M. l'Ambassadeur Lewin de m'avoir invitée à prendre la parole. 

«Nous peuples des Nations unies résolus à proclamer à nouveau notre foi dans les droits

fondamentaux, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l'égalité de droits

des hommes et des femmes ainsi que des nations grandes et petites et à favoriser le progrès social et instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande».

La DUDH fixe les principes de la liberté d'information dans l'article 19. C'est pour consacrer ces valeurs que l'ONU dédie en 1993 une journée à la liberté de la presse , liberté de l'information , d'expression et d'opinion.

La description de la situation actuelle, avec 1300 professionnels des médias menacés dans le monde, son cortège de journalistes emprisonnés, assassinés ...le principal média en Chine (l'outil Internet) contré par une cyberpolice constituée de 40 000 fonctionnaires de police pour traquer les cyberdissidents, dira Michaël Stzanke journaliste en poste à Pékin pendant plusieurs années... ...ou bien des fournisseurs d'accès qui s'installent en Chine à qui l'on demande de signer une Charte interdisant toute information susceptible de menacer le Gouvernement ou présentant une menace pour la stabilité sociale.... etc.

On ne peut que mesurer à quel point la liberté d'informer et d'être informé est encore menacée et surtout combien les obligations nées des traités ratifiés par les pays signataires sont loin d'être respectées.

Nous savons que l'ONU étant composée "d'Etats membres" ce sont les représentants des gouvernements qui signent les conventions internationales. On se trouve là sur le mode de la représentativité si l'on se réfère au texte du préambule. Nous, peuple des nations unies, on peut se féliciter de ce que la société civile soit assez bien représentée au sein d'une instance comme l'OIT, par exemple.

Cependant, cela n'est pas suffisant et nous fondons beaucoup d'espoir dans la réforme entreprise par M. le Secrétaire général pour que la participation populaire soit plus importante. Car c'est bien du peuple que viennent (pour reprendre Montesquieu) "la puissance publique et les lois".

Pour être plus efficaces, pour protéger la liberté d'opinion et la liberté d'expression qui sont les premières conditions de la reconnaissance de l'existence humaine qui pense, s'exprime et agit, il faut s'élever contre toutes formes de confiscation.

La Gouvernance qui nous représente par délégation n'a de sens qu'à partir du moment où le débat démocratique existe.

Or, le débat démocratique ne peut s'exercer sans ces libertés sous peine de voir l'instauration de principes autoritaires s'achever en tyrannie.

Il s'agirait pour nous tous d'unir nos forces afin de contribuer à développer une démocratie de base.

Souvenons-nous que dans la Grèce antique où les procès se multipliaient, lorsque la démocratie apparaît, elle apparaît dans sa fonction de participation du peuple aux affaires publiques et non pas dans ses fonctions de représentation. Cela signifie que, par essence, la démocratie est d'abord participative.

Participer c'est à dire "prendre part" au destin de notre humanité. C'est s'éprouver en tant qu'être humain comme faisant partie d'un tout, d'un ensemble...

Oui, l'histoire d'autrui me concerne.Oui, ça me regarde. Et lorsqu'on porte atteinte à la liberté de l'autre c'est de moi qu'il s'agit, c'est ma propre humanité qui est bafouée , meurtrie. Empêcher un journaliste d'exercer son métier imposent deux sanctions : l'une pour celui qui informe, l'autre pour celui qui ne peut pas recevoir l'information.

Alors, on voit mieux se dessiner ce qu'il y a d'intolérable dans la censure quels qu'en soient les motifs.

On voit ce qu'il y a d'inacceptable à étouffer les opinions. Pas plus que le mensonge d' Etat, l'obstruction de l'information n'est défendable.

L'histoire l'a déjà prouvé : la répression, la censure, l'interdit provoquent la souffrance mais ça n'est en rien efficace, car l'aspiration à la liberté est toujours plus forte.

Cependant, on ne saurait se donner bonne conscience en s'indignant des phénomènes de répression ou de censure des pays voisins tout en faisant l'impasse vis-à-vis d'autres, comme si dénoncer les violations des uns effaçait les crimes des autres.

Il est bon de rappeler que c'est aux USA (Constitution américaine liberté d'expression) c'est-à-dire dans le seul pays occidental où le communisme n'a jamais pu s'implanter que l'on a vu à l'époque de McCarthy se déchaîner l'anticommunisme le plus inquisitorial (simulacres de procès, intellectuels,artistes pourchassés, dénonciations arbitraires, etc ).

Certes le MacCarthysme et le système soviétique ont disparu...mais aujourd'hui ?

Aujourd'hui, de nouvelles intolérances se font jour : on pourrait citer, le conformisme, par exemple.

De quoi s'agit il au juste ? Il s'agit de situations où tout le monde tend à produire le même discours.

Les élites politiques, les médias, les bien-pensants, les "béni oui-oui" qui parviennent à se couler dans le moule du "politiquement correct" "de la tendance" , en un mot un courant qui nie toute information non conforme au communément admis.

Il a pour conséquence une autre forme de censure...elle a pour nom l'exclusion.

Et faire silence, laisser faire, ne rien dire... serait ravageur pour notre monde. Car ce monde deviendrait alors uniformisé. Il ferait de l'individu un simple rouage sans capacité de " penser" ou "d'agir" autrement.

Il anéantirait tout espoir, toute volonté de changer la société. Il légitimerait enfin une fatalité plus aliénante et plus désespérante encore que les déterminismes du passé.

Ce serait donc une grave erreur de croire qu'avec la modernité les leçons du passé ont toutes été entendues.

Que même sous une autre forme les totalitarismes d'hier ne se reproduiront plus.

Pourtant, le risque de la pensée totalitaire s'insinue comme ça : en refusant aux hommes l'expression différente, l'information autre, l'opinion inhabituelle.

C'est pourquoi l'article 19 de la DUDH qui fait de "la liberté d'informer" un des droits les plus précieux de l'homme prouve par l'expérience que ces droits sont indivisibles et qu'ils cessent d'exister dès qu'on leur assigne des limites.

C'est donc bien la diversité des expressions, des opinions, des idées et des hommes que réside la véritable richesse du monde. Cela induit la reconnaissance de ce qui nous distingue, "l'unité" des peuples non pas dans ce qui est identique mais dans ce qui est "égal" face aux qualités respectives des valeurs humaines.

Tous les efforts entrepris pour la protection de la planète nous font comprendre l'importance de la diversité des espèces animales et végétales. Cette diversité vaut aussi pour les cultures et pour les peuples.

Merci aux porteurs de témoignages, à tous ceux dont le métier est de faire reconnaître, souvent au risque de leur vie, la valeur de l'expression humaine.

Merci à l'ONU de poursuivre son oeuvre en rendant réalisables les idéaux de la Charte.

Je vous remercie.


2009 

 

Brasilia

 

Déplacement a Brasília : l’association Agir pour les droits de l’homme est membre de l’ASCOP (Assemblée consultative auprès du Congrès des Peuples). A ce titre elle est invitée à présenter son projet au Congrès des Peuples qui s’est tenu au mois d’août 2009 à Brasilia. Lors de cet événement l’association a été force de propositions sur la « Question des Défenseurs des droits humains (DDH) ».


2008

 

Conférence au CAPE (Centre d'accueil pour la presse étrangère)

 

Un droit d'expression des peuples

au coeur des Nations unies

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Déclaration commune issue des débats du forum
Déclaration commune issue des débats du forum

2008

 

Forum

 

Ouverture d’un forum sur internet à initiative de l’association Agir pour les droits de l’Homme.

Modérateur des débats : l’association : Agir pour les droits de l’Homme.

 

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Consulter débats : http://www.recim.org/ascop/debat02-fr.htm

 


2008 

 

60e anniversaire de la DUDH

 

Campagne à l’occasion du 60anniversaire de la DUDH.

Recueil de signatures pour la présentation du projet initié par l’association Agir pour les droits de l’Homme :

 

« Pour un droit d’expression des peuples au cœur des Nations Unies ».


2008

 

 

ADH Collabore avec plusieurs ONG aux ateliers organisés par le rectorat de Créteil relatifs au développement d’une culture des droits humains. Ces ateliers visent à mettre en place des conférences tendant à former enseignants et élèves aux problématiques liées aux droits humains (exemples de thèmes : l’immigration, le fait religieux, la parité).


2007

 

Collectif Chine

 

Création du "Collectif Chine" visant à dénoncer les violations des droits de l’Homme en Chine à la veille des Jeux Olympiques. Les ONG composant le Collectif : ACAT (Action des chrétiens pour l'abolition de la torture et de la peine de mort).

Amnesty International

Agir pour les droits de l’Homme (ADH)

La ligue des droits de l’Homme (LDH)

Solidarité Chine

Ensemble Contre la peine de mort (ECPM)

FIDH

Reporters sans frontières (RSF)

Comité de soutien au peuple tibétain

 

Le Collectif Chine a été initié par une dizaine d’associations françaises soucieuses de rappeler aux autorités chinoises qu’en accueillant les Jeux Olympiques, elles se sont engagées à améliorer la situation des droits de l’Homme en Chine.

 

Lien vers le Communiqué de presse: clic sur image

 

Lancement de la campagne au CAPE

 

Conférence du Collectif Chine au CAPE (Centre d’Accueil de la Presse étrangère) :  Lancement de la campagne du Collectif concernant les revendications pour les JO 2008 en Chine : intervention de Robert Badinter qui soutient la campagne du Collectif.


2007 

 

3e Congrès ECPM

 

 

Partenaire de l’ONG « Ensemble contre la peine de mort » pour le "3Congrès mondial pour l’abolition de la peine de mort "qui s’est tenu à Paris.

Interviewée par Laurent Doulsan de France Info sur la peine de mort en Chine, lors du Congrès mondial de ECPM.


2007

 

Conférence

 

Organisation d’une conférence au Sénat de la République Française sur le Thème : « La paix de la parole à l’action »

En partenariat avec le Centre d’Informations des Nations unies, l’AFNU, Solidarité Chine, Ensemble Contre la peine de mort, le Bureau de représentation de Taïwan, le service culturel de l’ambassade du Mexique, la CNCDH, Citoyens du Monde.

 

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2007

 

Conférence

 

 

Organisation d’une conférence au Sénat de la République Française  sur le thème : « La paix, qu’est-ce que c’est et comment la faire ? »


"Clic" = l'événement.
"Clic" = l'événement.

2006  

 

Conférence

 

Journée internationale des Nations Unies pour la liberté de la presse

 

 

Organisation d’une conférence au Sénat à l’occasion de la  « Journée Internationale des Nations unies pour la liberté de la presse »

 

En partenariat avec : Le Centre d’Informations des Nations unies, France 3 Corse, les ONG – Ensemble Contre la peine de mort, l’AVRE (Association pour les victimes de la répression et de la torture) l’AFNU (Association française pour les Nations unies) Avocat sans Frontières, L’Enfant bleu/ enfance maltraitée, La ligue Camerounaise des droits de l’Homme, France-Tibet, France-Israël.

En remplacement de l'Unesco, cet événement à eu lieu au Sénat de la République Française.
En remplacement de l'Unesco, cet événement à eu lieu au Sénat de la République Française.

2005 

 

Conférence 

 

Les défenseurs des droits humains

 

Organisation d’une conférence au Sénat sur le thème : « Les défenseurs des droits humains »

Placée sous le parrainage du sénateur Michel Dreyfus-Schmidt et soutenue par le Centre d’Informations des Nations unies pour l’Europe, cette conférence a été organisée en collaboration avec Amnesty International. A cette occasion, aux côtés des ONG et des fonctionnaires internationaux, des fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères se sont exprimés sur le rôle de la France en faveur des défenseurs des droits humains.


L'événement: "clic" sur l'image.
L'événement: "clic" sur l'image.

2003 

 

Rencontres  Villes-Internet

 

Dans le cadre de la manifestation «Cities Word – Lyon» l’association a participé aux Rencontres Villes -Internet.  Tenue d’un stand d’informations visant à sensibiliser le public aux questions que soulève la problématique des droits de l’Homme sur Internet. Lors de ces rencontres, la contribution aux débats a porté le thème : «Quelle place et quels outils de protection envisager pour les droits humains dans l’information véhiculée par les nouvelles technologies ? »

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